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Chroniques

Avec mon meilleur souvenir - Françoise Sagan

1984

Avec mon meilleur souvenir

Pour la première fois, Françoise Sagan se raconte elle-même. Oui, elle aime la vitesse, Saint-Tropez, le jeu, les copains. Mais elle déteste le scandale, tous les scandales, le bruit fait autour d'elle. Timide et réservée, c'est en parlant de ce qui lui est cher et non en analysant ses propres états d'âme qu'elle se livre totalement.
Elle évoque avec le même naturel ses dîners avec Jean-Paul Sartre aveugle et ses " fours " au théâtre. Ici l'émotion domine, là l'humour l'emporte. Mais une constante se dégage de tous ces récits : Françoise Sagan aime aimer, elle aime admirer, à la différence des hommes et femmes de lettres, peu portés à reconnaître plus grands qu'eux-mêmes.

Editeur : Gallimard

Couverture du livre Et toute ma sympathie

1993

Et toute ma sympathie

Avec Et toute ma sympathie, Françoise Sagan évoque le cinéma, Hollywood et Cinecittà, ainsi que Fellini, mais aussi les stars mythiques que sont Ava Gardner ou Catherine Deneuve dont elle souligna l'humanité vraie. Comme dans le précédent volume -- en plus d'un croquis inattendu de Gorbatchev -- quelques textes autobiographiques jalonnent ce recueil de "souvenirs" qui entrainent le lecteur dans sa passion des chevaux ou dans le monde étrange des grands débats télévisés, que Sagan décrit avec un sens remarquable du dialogue et de la cocasserie. Un authentique talent de satiriste se découvre ici. Tout est dans ces pages, une fois de plus, affaire de sensibilité, d'atmosphère. Par sa liberté, son naturel, sa simplicité, Françoise Sagan nous dévoile ce qu'est le bonheur d'écrire et nous offre en même temps un rare plaisir de lecture.

 

Editeur: Julliard

Chroniques 1954-2023 - Françoise Sagan

2016

Chroniques 1954-2003

Par le plus grand des bonheurs, j'ai récemment découvert une dizaine de textes qui n'avaient jamais été édités et que j’ai choisi de joindre à ce recueil. Voici donc enfin rassemblés, en un volume, 70 chroniques que Françoise Sagan a écrites entre 1954, date de parution de Bonjour tristesse, et 2003, peu avant sa disparition.


Dès 1954, l’année de son succès mondial, elle rencontre Hélène Gordon Lazareff qui dirige alors le journal Elle et lui propose d’écrire des récits de voyage : elle se rendra à Venise, à Capri, à Naples puis à New York. Quelque temps plus tard, l’Express l’enverra à Cuba pour couvrir la révolution castriste, dans les salles obscures pour faire la critique du denier film d’Alain Resnais, Hiroshima mon amour, au tribunal pour couvrir le procès de l’Algérienne Djamila Boupacha…


Au fil de sa vie, sa collaboration va s’étendre à de très nombreux journaux Elle, L’Express, Femme, Le nouveau Fémina, Playboy, L’humanité, Globe, Vogue, L’Égoïste et quelques autres.


Dans chacun de ses articles, on retrouve ses mots, sa justesse, cette légèreté apparente qui révèlent en fait la si grande acuité de son regard. Elle nous dévoile ses coups de cœur, ses coups de colère et ses engagements. Elle nous dit aussi ses admirations ou ses amitiés pour des personnalités aussi éloignées que Joseph Losey, Michel Legrand, Verlaine, Yves Saint Laurent ou Bettina, son amie de toujours, car ils ont tous en commun cette qualité – si essentielle à ses yeux – et qui n’est autre qu’un indéfectible goût de la liberté.

Editeur : Livre de Poche

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